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Plague
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Plague Annihilation
Qui a programmé l’extinction de l’espèce humaine ? D’où viennent ces créatures de cauchemars, destinées à anéantir les survivants ? À qui obéissent-elles ? Pour Salvator et son groupe, les réponses sont à portée de main, mais à quel prix feront-ils éclater la vérité ? Dans ce deuxième tome, Rodolphe Ourcet nous entraîne dans une formidable odyssée sans temps mort et riche en rebondissements. Les personnages, plus attachants les uns que les autres, incarnent toute la fragilité humaine tandis que leurs convictions vacillent : à qui faire confiance ? Pourquoi continuer ? Le jeu en vaut-il vraiment la chandelle ?
L'univers
Partout sur le globe, les humains assistent à une scène surréaliste qui changera à tout jamais leur existence. Un groupe cherchera la vérité et c’est dans un périple planétaire qu’ils trouveront certaines réponses.
L’univers de Plague se situe à notre époque. Ce roman dystopique dépeint une suite alternative de notre temps, livré aux mains sadiques et amorales de quelques dirigeants de l’ombre.
Heureusement que la bonté et l’entraide ne disparaitront pas dans le futur…


« Extrait »
Il fallait qu’ils partent de là, avant de se faire écraser par le rayonnage que la créature faisait tomber. Pablo se précipita vers la sortie et hurla. Il n’avait pas vu les fils discrets tendus en travers de la porte et s’y colla. La douleur était insoutenable et il ne pouvait penser à rien d’autre que hurler. Il avait l’impression que des milliards d’aiguilles lui rentraient dans la peau et pénétraient jusque dans ses organes les plus au centre. Il tressaillait, bavait tellement la douleur était intense. Mina le vit, mais elle savait qu’il lui fallait déjà rester en vie avant de l’aider. Le piège était trop gros. Le dilemme prit une autre tournure quand elle vit l’araignée avancer sans se préoccuper de Mina et commencer à attraper Pablo avec ses pattes. Elle approchait l’extrémité de son ventre afin de tisser sa toile autour du pauvre Panaméen. Elle n’eut pas longtemps pour réfléchir, car l’autre araignée poussait le dernier rayonnage et fondait sur elle. Le monstre était gigantesque et effrayant. Elle devait bien mesurer un mètre cinquante de hauteur et deux mètres de large. Elle ouvrait sa gueule béante hérissée de crochets. Mina se mit en position de combat et tira. Elle visa les dizaines de petits yeux et en creva quelques-uns. La créature siffla de douleur, mais elle continua sa course. Elle n’était qu’à trois mètres de Mina quand elle stoppa. Elle entendait des tirs dans le hall et voyait l’autre araignée se faire cribler de balles. Mina n’hésita pas et balança une grenade sous l’arachnide et décampa. L’explosion éclata le ventre délicat de la bête et la belle Indienne vida un chargeur dans la gueule de l’araignée. Elle tomba morte, la tête à moitié pulvérisée. La jeune femme remit un chargeur neuf et sauta au travers de la vitre qui était déjà cassée par l’explosion de la grenade. Elle vit alors l’araignée courir vers Jade qui l’allumait à distance. Mina se fit un malin plaisir de lui tirer dans le dos et la créature éclata sur place. Elles avaient réussi à faire en sorte que personne ne reçoive d’acide. Puis la jeune Indienne se précipita pour aider Pablo. Il n’était pas beaucoup ficelé, mais il avait perdu connaissance. Elle prit son couteau pour le délivrer, mais dès qu’elle toucha un fil, elle hurla.
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